Ma vie, ma santé, mon autonomie!

« Le projet ‘Oui à la vie’, c’est une vision qui s’enracine : proposer des pistes pour prendre soin de soi ou des autres d’une manière qui favorise l’autonomie des personnes, malgré les défis auxquels elles doivent faire face.

Actuellement, la plateforme accueille 22 émissions que j’ai eu le privilège de co-animer avec l’extraordinaire Louise DesChâtelets, alors que nous étions accompagnés de chroniqueurs et d’invités pour aborder la santé sous toutes ses coutures !

Prochainement, la plateforme va évoluer pour accueillir de nouveaux projets ciblant toujours l’union des pratiques pour contribuer à offrir une vision intégrative des interventions qui soutiennent la santé des personnes. »

«Oui à la Vie!», c’est une plateforme web qui aborde la santé selon une approche globale, tant au niveau préventif que curatif, pour explorer les éléments qui influent sur les processus favorisant la santé et la guérison.

«Oui à la Vie!», c’est l’opportunité de découvrir autant les aspects de la santé physique que psychologique, autant les médecines pharmacologique que complémentaires, autant les pratiques traditionnelles que novatrices.

«Oui à la Vie!», c’est un point de rencontre entre les différentes approches et pratiques dans le domaine de la santé, explorant les 9 grandes habitudes de vie qui contribuent à l’équilibre, incluant les choix financiers et l’environnement ou l’écologie.

Unir les pratiques plutôt que de les opposer
Chaque thème abordé propose une vision globale de la santé dans une perspective de médecine intégrative, c’est à dire l’union des pratiques favorisant la santé et la guérison, tant du corps que de l’esprit. L’idée est de développer des habitudes de vie qui maintiennent la qualité de vie ou contribuent à recouvrer la santé quand celle-ci vacille.

La Science est un outil puissant pour développer des thérapies et des pratiques d’intervention en santé qui permettent de sauver mille et une personnes chaque jour. Toutefois, il faut savoir que, même si la recherche scientifique a offert une multitude d’informations sur le vivant, les services administratifs occidentaux induisent, malheureusement, deux problèmes qui affectent le bien-être des personnes.

D’une part, l’organisation des systèmes publics nous amène à la fois à perdre de vue notre part de responsabilité en matière de santé et la compréhension de la santé en termes systémiques, où chacun de nos choix influe sur les différents aspects de notre vie. Un des effets causés par cette dynamique est l’augmentation progressive du nombre de personnes affectées par des maladies chroniques qui nécessitent parfois des interventions pharmacologiques, mais surtout une transformation des habitudes de vie.

D’autre part, les médecines complémentaires (psychologie, chiropratique, ostéopathie, massothérapie, naturopathie, herboristerie, etc.) recourent à des techniques d’interventions plus globales et moins invasives que la médecine pharmacologique. En se basant sur la recherche en laboratoire et des protocoles normatifs, il est plus difficile de mesurer les effets à courts termes des pratiques complémentaires, contrairement à l’usage des médicaments. Certains doutent de l’intérêt des pratiques préventives, alors que plusieurs légendes urbaines contribuent à entretenir le doute, tant des spécialistes et autres experts que des patients.

Heureusement, les médecines complémentaires bénéficient de plus en plus de bases scientifiques. Toutefois, il est nécessaire de vulgariser ces connaissances autant pour permettre aux personnes de choisir librement ce qui leur convient que pour aider les professionnels de la santé à mieux comprendre l’utilité et la complémentarité des pratiques.

Ainsi, il ne s’agit pas d’opposer les expertises, mais plutôt de découvrir comment celles-ci peuvent s’associer pour améliorer la qualité de vie des individus et leur permettre de faire des choix en pleine connaissance de cause. C’est la base d’une démarche éthique et d’une intégration des valeurs humaines au sens large.

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